Derniers articles de blog

Zsh est un shell très puissant. Couplé au framework Oh My Zsh et au plugin powerline, il permet d'avoir un terminal très efficace, et vraiment chouette visuellement. Voici comment installer tout ça sous Debian 10.

L'éditeur de texte de Moodle permet d'intégrer des équations écrites au format TeX, qui sont ensuite transformées en images. Malheureusement, ces images sont trop grosses par rapport au texte, et le rendu n'est pas très estétique. Il est toutefois possible d'écrire ses équations dans l'éditeur de texte Moodle au format MathML en s'aidant de Visual Math Editor.

J'ai la chance de participer à la première journée de l'innovation organisée par l'Université et le Rectorat de Limoges. Cette journée aura lieu le 20 mars 2019 au Carrefour des étudiants, 88 rue du pont Saint-Martial à Limoges.

Fini Wordpress. Ce site vient de basculer entièrement sous forme statique. Ça signifie qu'il n'y a plus maintenant que des pages web (html), des images et des fichiers à télécharger. Parmi tous les systèmes de génération de sites statiques, mon choix s'est porté sur Pelican. C'est écrit en Python, et c'est un logiciel libre, ce qui n'est pas pour me déplaire.


C’était un des objectifs de la mission de cette année : connecter un des télescopes du réseau CHARA avec la station de recombinaison des faisceaux, en passant par une fibre optique plutôt que par les tubes sous vide qu’il y a actuellement. Et ça a été un des moments les plus funs de la mission !

Si vous faites de l’astronomie amateur, et en particulier si vous faites de la photo astro, vous savez qu’on se retrouve vite avec un paquet de câbles en tout genre, et qui n’ont qu’une envie, s’emmêler et faire des nœuds dès que le télescope va tourner pour viser un nouvel objet. Pour les télescopes du réseau CHARA, c’est pareil, sauf qu’il y a vraiment un sacré paquet de câbles, et qu’il faut gérer tout ça.

Déroulement de mission parfait jusqu’à maintenant. Pas d’incendie à l’horizon (on est en vigilance incendie tout de même), pas de crotales, ni de tremblement de Terre, et les ours ont l’air de nous laisser tranquilles. Du coup on peut faire notre travail dans de bonnes conditions ! Je vais profiter de ce billet pour remettre un peu tout ça dans son contexte, et parler (un peu) physique et de nos objectifs sur place. Pas de panique, je vais rester très synthétique. Il n’y aura même pas d’équations !

Il est 4h du matin, et je ne peux plus dormir à cause du décalage horaire. Pas grave, j’en profite pour rédiger ce billet, mon blog commençait à prendre la poussière ! Dans quelques heures, le Soleil va se lever, et nous allons débuter notre deuxième journée de travail à l’observatoire du Mont Wilson. Jusqu’ici, tout se déroule parfaitement.

Il est un objet qui traverse notre ciel depuis 2010, et qui est beaucoup plus original que l’ISS. Il s’agit de la navette militaire américaine X37-B. Cette navette ressemble un peu aux navettes spatiales de la NASA, mais avec des dimensions bien plus modestes (environ 8 m de long et 5 m d’envergure), et n’emporte pas d’équipage. Ça ressemble donc plus à un gros drone, capable de se placer en orbite basse (environ 400km d’altitude), puis d’effectuer une rentrée atmosphérique, et enfin un atterrissage automatisé.